Système de recherche : état des lieux, propositions et mobilisation

Préparé par :

– le Syndical National de l’Enseignement SUPérieur (SNESUP, France)

– la Fédération Mondiale des Travailleurs Scientifiques

– la Fédération Québécoise des Professeures et Professeurs d’Université (FQPPU, Québec)

– le Syndicat National des Chercheurs Scientifiques (SNCS, France)

– Les Levidow, Senior Research Fellow à l’Open University, Royaume-Uni

Problématique

1.   45mn. Quelles sont les missions de la recherche ? Quels sont ses principes de base (épistémologiques, méthodologiques).

2.   30mn. Quelles sont les questions urgentes appelant une contribution importante de la recherche ?

3.  30mn. Pourquoi et en quoi le néolibéralisme tend à étendre son emprise sur la recherche ? Quelle est l’organisation effective de la recherche, son financement, ses retombées (ce qui est semblable ou différent selon les pays) ?

Eléments de solution et stratégie de mise en œuvre

4.  60mn. Comment organiser la recherche afin qu’elle remplisse toutes ses missions ?

5.  45mn. Mobiliser les chercheurs, leurs syndicats, la société en faveurs d’une autre organisation de la recherche ; développer des liens démocratiques entre la recherche et la société.

Disponible en / Available in: French, Spanish, Portuguese (Brazil)

One Response to “Système de recherche : état des lieux, propositions et mobilisation”

  1. Cécile Sabourin 28 January 2013 at 18 h 17 min # Reply

    Je trouve la proposition très intéressante, voire essentielle pour penser un avenir du système de recherches répondant aux besoins de recherches tant fondamentaux que conjoncturels. Les universités ont un rôle et des responsabilités indéniables quant à tous les aspects de la connaissance. « Cela s’exprime par sa production (la recherche), sa diffusion (l’enseignement) et son utilisation (savoir-faire et formation) ». Cependant elles ne peuvent assumer ces responsabilités tout en répondant à toutes les attentes sociétales en matière de recherche. Il n’est pas surprenant de constater que de nombreux « foyers » de production/diffusion/utilisation des connaissances se sont développés et existent en dehors des universités. Ils sont souvent peu ou mal connus et parfois victimes à tort ou à raison de critiques ou de sur-valorisation.

    Dans un monde où les connaissances ont une influence déterminante sur les décisions politiques, les activités économiques, etc, il est pertinent, comme le propose Denis Bélisle, de faire le portrait de ce qu’il nomme « l’écosystème de la recherche » afin de mettre à jour les forces en présence dans ces batailles pour le contrôle des connaissances et la définition des enjeux et priorités de recherche. Sur cette base, nous pourrons commencer à rêver collectivement d’un « écosystème de recherche » capable de répondre et de s’adapter aux besoins, contraintes et attentes sociétales en matière de recherche. La place spécifique des universités doit être discutée.

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